Suite à l’appel à candidature lancé par la Gestion Immobilière de la Ville de Namur, le NID (Namur Intelligente et Durable) accueillera très prochainement dans son espace Horeca (courant octobre) un trio d’entreprises expérimentées chapeautées par une association de 4 jeunes namurois aux profils différents et complémentaires :
- Ludovic Vanackere de « L’Atelier de Bossimé »,
- Thierry Bachez et Sander Dethiège de « Blackbird’s Gin »,
- Benjamin Schaul, sommelier au « Sens du Goût ».
Ces 4 personnes ont décidé de conjuguer leurs talents et leur expertise et ont proposé un projet qui a séduit la Ville de Namur.
Ils ne sont plus à présenter mais les voici, en quelques lignes :
. Ludovic Vanackereb[ de « L’Atelier de Bossimé »]b : Il a ouvert son restaurant en 2012. Esprit cuisinier bouillonnant d’idées, élu jeune chef de Gault et Millau en 2017, il n’a cessé d’innover «durablement» depuis sa sortie d’école… Il a également reçu une étoile « verte » au Guide Michelin en janvier 2020. Sa cuisine au circuit court (voire très court), aux produits locaux et proche du « zéro déchet » fait de lui un génie des fourneaux dans l’air du temps. C’est lui qui sera chargé de l’élaboration de la carte et de la mise en place de celle-ci.
. Thierry Bachez et Sander Dethiège de « Blackbird’s Gin » : Ils sont à l’origine du Gin à la véritable fraise de Wépion. Ils connaissent bien Ludovic puisqu’ils ont, ensemble, le projet de créer une mini-distillerie au cœur de « L’Atelier de Bossimé ». Un endroit qu’ils connaissent bien puisqu’ils ont participé au collectif « Artisans de Bossimé ». Diplômés de l’Ecole Royal Militaire, c’est à eux que revient la gestion administrative et financière du restaurant.
. Benjamin Schaul, sommelier au « Sens du Goût » : Fort de plus de 10 ans d’expérience dans le monde de l’Horeca, il assurera le rôle de Maître d’Hôtel (accueil de la clientèle, gestion opérationnelle,…) au sein du futur établissement. C’est à lui que reviendra, également, la mission de sélectionner les produits.
- Ludovic Vanackere de « L’Atelier de Bossimé »,
- Thierry Bachez et Sander Dethiège de « Blackbird’s Gin »,
- Benjamin Schaul, sommelier au « Sens du Goût ».
Ces 4 personnes ont décidé de conjuguer leurs talents et leur expertise et ont proposé un projet qui a séduit la Ville de Namur.
Ils ne sont plus à présenter mais les voici, en quelques lignes :
. Ludovic Vanackereb[ de « L’Atelier de Bossimé »]b : Il a ouvert son restaurant en 2012. Esprit cuisinier bouillonnant d’idées, élu jeune chef de Gault et Millau en 2017, il n’a cessé d’innover «durablement» depuis sa sortie d’école… Il a également reçu une étoile « verte » au Guide Michelin en janvier 2020. Sa cuisine au circuit court (voire très court), aux produits locaux et proche du « zéro déchet » fait de lui un génie des fourneaux dans l’air du temps. C’est lui qui sera chargé de l’élaboration de la carte et de la mise en place de celle-ci.
. Thierry Bachez et Sander Dethiège de « Blackbird’s Gin » : Ils sont à l’origine du Gin à la véritable fraise de Wépion. Ils connaissent bien Ludovic puisqu’ils ont, ensemble, le projet de créer une mini-distillerie au cœur de « L’Atelier de Bossimé ». Un endroit qu’ils connaissent bien puisqu’ils ont participé au collectif « Artisans de Bossimé ». Diplômés de l’Ecole Royal Militaire, c’est à eux que revient la gestion administrative et financière du restaurant.
. Benjamin Schaul, sommelier au « Sens du Goût » : Fort de plus de 10 ans d’expérience dans le monde de l’Horeca, il assurera le rôle de Maître d’Hôtel (accueil de la clientèle, gestion opérationnelle,…) au sein du futur établissement. C’est à lui que reviendra, également, la mission de sélectionner les produits.
Un projet qui colle à la philosophie du NID
Pour rappel, le bâtiment du NID est composé de deux niveaux :
- Un espace scénographié, en mezzanine, au niveau de l’esplanade ;
- Un espace HORECA, au niveau des quais de Sambre et de Meuse.
Au vu de la configuration des lieux, il était donc capital que le projet d’HORECA soit élaboré en cohérence avec l’espace scénographié.
Les critères de sélection des candidats ont donc été pensés pour assurer cette cohérence qui permettra de donner une identité forte au bâtiment. L’offre de l’Atelier de Bossimé reflétait pleinement la philosophie et les objectifs du NID, à savoir « favoriser la transition écologique tout en étant connecté et respectueux de l’environnement ».
Sur cet aspect des choses, évidemment, le caractère durable de la cuisine du chef Vanackere s’est révélé être un atout indéniable. Leur projet colle, quasiment, à la perfection avec la philosophie des lieux : circuit-court, produits de saison, « zéro-déchet », « zéro plastique », … Et ce même jusque dans le choix du mobilier qui leur incombe : matériaux recyclés, écoresponsables, via des entreprises locales.
L’expérience des acteurs, la qualité du plan alimentaire, un business plan solide faisaient également partie des critères de sélection. L’équipe travaillera en étroite collaboration avec l’équipe du service NID afin d’assurer une programmation cohérente et fournir ainsi au public une expérience unique sur ce site emblématique de Namur.
La Team « Vanackere, Bachez, Dethiège, Schaul » n’était cependant pas seule candidate. A la fin de l’appel d’offre, soit le mardi 1er juin à 10h, deux offres étaient arrivées sur la table. Une troisième a malheureusement été déposée en retard. Il est à remarquer que les trois offres émanent d’acteurs namurois.
Comme annoncé dans l’appel d’offre lancé en mars 2021, le/les candidat.e.s vont devoir investir dans l’équipement de salle et de la cuisine, estimé à hauteur de plus de 200.000 euros.
- Un espace scénographié, en mezzanine, au niveau de l’esplanade ;
- Un espace HORECA, au niveau des quais de Sambre et de Meuse.
Au vu de la configuration des lieux, il était donc capital que le projet d’HORECA soit élaboré en cohérence avec l’espace scénographié.
Les critères de sélection des candidats ont donc été pensés pour assurer cette cohérence qui permettra de donner une identité forte au bâtiment. L’offre de l’Atelier de Bossimé reflétait pleinement la philosophie et les objectifs du NID, à savoir « favoriser la transition écologique tout en étant connecté et respectueux de l’environnement ».
Sur cet aspect des choses, évidemment, le caractère durable de la cuisine du chef Vanackere s’est révélé être un atout indéniable. Leur projet colle, quasiment, à la perfection avec la philosophie des lieux : circuit-court, produits de saison, « zéro-déchet », « zéro plastique », … Et ce même jusque dans le choix du mobilier qui leur incombe : matériaux recyclés, écoresponsables, via des entreprises locales.
L’expérience des acteurs, la qualité du plan alimentaire, un business plan solide faisaient également partie des critères de sélection. L’équipe travaillera en étroite collaboration avec l’équipe du service NID afin d’assurer une programmation cohérente et fournir ainsi au public une expérience unique sur ce site emblématique de Namur.
La Team « Vanackere, Bachez, Dethiège, Schaul » n’était cependant pas seule candidate. A la fin de l’appel d’offre, soit le mardi 1er juin à 10h, deux offres étaient arrivées sur la table. Une troisième a malheureusement été déposée en retard. Il est à remarquer que les trois offres émanent d’acteurs namurois.
Comme annoncé dans l’appel d’offre lancé en mars 2021, le/les candidat.e.s vont devoir investir dans l’équipement de salle et de la cuisine, estimé à hauteur de plus de 200.000 euros.
La durabilité au centre du projet architectural
L’adéquation entre le projet sélectionné et les perfomances du bâtiment représente un réel atout pour le site. Pour rappel, le bâtiment est économe en énergie de par ses parois fortement isolées, notamment. Mais également au niveau du facteur solaire : les vitrages bas et les lamelles extérieures fixes contribuent à combattre la surchauffe tout en apportant un maximum de lumière naturelle au sein des locaux.
Grâce au suivi, sans faille des collaborateurs/trices du NID et du Bureau d’Etudes Bâtiments de la Ville de Namur, les lieux bénéficient d’une technologie de pointe en matière de production de chaleur de free-cooling. Tout cela se fait via une pompe à chaleur sur eau de Meuse. Pour 1kWh d’électricité qu’elle consomme, elle va produire 4,13 kWh d’énergie en moyenne.
La technique de cette pompe à chaleur dite « eau-eau » réside dans le fait de capter une source d’eau et de transmettre l’énergie de cette eau à un autre liquide. Précisons que plusieurs filtres ont été placés en amont, limitant de la sorte le passage des impuretés. Ajoutons à cela une cuve tampon qui va permettre de décanter au maximum les saletés et d’éviter un encrassement trop rapide.
Tanguy Auspert, Echevin du Patrimoine, et le Bourgmestre, Maxime Prévot, se réjouissent de voir aboutir ce projet, ce chantier, et saluent l’excellente collaboration entre les Services du NID, du Bâtiment et de la Gestion Immobilière. Ce qui a permis un suivi minutieux des travaux et la sélection d’une équipe de qualité et, rappelons-le locale, pour la gestion du futur restaurant.
Encore un peu de patience avant de voir revivre la pointe du Grognon grâce à un financement européen obtenu par Maxime Prévot.
Grâce au suivi, sans faille des collaborateurs/trices du NID et du Bureau d’Etudes Bâtiments de la Ville de Namur, les lieux bénéficient d’une technologie de pointe en matière de production de chaleur de free-cooling. Tout cela se fait via une pompe à chaleur sur eau de Meuse. Pour 1kWh d’électricité qu’elle consomme, elle va produire 4,13 kWh d’énergie en moyenne.
La technique de cette pompe à chaleur dite « eau-eau » réside dans le fait de capter une source d’eau et de transmettre l’énergie de cette eau à un autre liquide. Précisons que plusieurs filtres ont été placés en amont, limitant de la sorte le passage des impuretés. Ajoutons à cela une cuve tampon qui va permettre de décanter au maximum les saletés et d’éviter un encrassement trop rapide.
Tanguy Auspert, Echevin du Patrimoine, et le Bourgmestre, Maxime Prévot, se réjouissent de voir aboutir ce projet, ce chantier, et saluent l’excellente collaboration entre les Services du NID, du Bâtiment et de la Gestion Immobilière. Ce qui a permis un suivi minutieux des travaux et la sélection d’une équipe de qualité et, rappelons-le locale, pour la gestion du futur restaurant.
Encore un peu de patience avant de voir revivre la pointe du Grognon grâce à un financement européen obtenu par Maxime Prévot.