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L’église abbatiale de l’Abbaye Notre-Dame du Vivier n’appartient pas à l’exploitant privé du site classé. L’entretien de cet édifice reste de la responsabilité de la Ville de Namur. Et il est grand temps de rénover la totalité de sa toiture et son clocher.
Ce projet a été validé par le Conseil communal du 12 novembre 2024 et n’est pas une mince affaire. En effet, la charpente de la toiture date du 13e siècle et est entièrement conservée. Son grand âge impose une intervention d’envergure.
En collaboration avec l’Agence wallonne du Patrimoine (AWaP), au titre de pouvoir subsidiant, la constitution du dossier a permis de mettre en avant des morceaux de l’histoire de l’église. Il semble qu’une intervention a été réalisée au 17e siècle avec la pose d’un clocheton ... déplacé sur son site actuel, vers la fin du 19e.
Les futurs travaux consistent en le remplacement total de sa couverture jusqu’au plancher de toiture. Mais malgré tout, et selon les impositions de l’AWaP, une grande partie de la charpente existante doit être conservée. Toutes les modifications éventuelles ont dû être validéespar l’Agence. Ce qui représente un travail de fourmis pour le Bureau d’Etudes des Bâtiments de la Ville (BEB).
La nouvelle couverture, cependant, comprendra une nouvelle sous-toiture, des nouvelles lattes et contre-lattes, ainsi qu’un revêtement en ardoises flambant neuf. Des ardoises qui devront se rapprocher le plus possible de celles d’origine afin d’être validées par l’AWaP également.
Ensuite, le clocher (et sa flèche), penchant au fil des années, va aussi subir une intervention dans le but que son poids soit parfaitement soutenu par la « nouvelle » charpente.
Le chantier va compter 280 jours d’intervention et est estimé à 372.000 euros TVAC. Il sera soutenu par un subside régional de 180.000 euros.
Ce projet a été validé par le Conseil communal du 12 novembre 2024 et n’est pas une mince affaire. En effet, la charpente de la toiture date du 13e siècle et est entièrement conservée. Son grand âge impose une intervention d’envergure.
En collaboration avec l’Agence wallonne du Patrimoine (AWaP), au titre de pouvoir subsidiant, la constitution du dossier a permis de mettre en avant des morceaux de l’histoire de l’église. Il semble qu’une intervention a été réalisée au 17e siècle avec la pose d’un clocheton ... déplacé sur son site actuel, vers la fin du 19e.
Les futurs travaux consistent en le remplacement total de sa couverture jusqu’au plancher de toiture. Mais malgré tout, et selon les impositions de l’AWaP, une grande partie de la charpente existante doit être conservée. Toutes les modifications éventuelles ont dû être validéespar l’Agence. Ce qui représente un travail de fourmis pour le Bureau d’Etudes des Bâtiments de la Ville (BEB).
La nouvelle couverture, cependant, comprendra une nouvelle sous-toiture, des nouvelles lattes et contre-lattes, ainsi qu’un revêtement en ardoises flambant neuf. Des ardoises qui devront se rapprocher le plus possible de celles d’origine afin d’être validées par l’AWaP également.
Ensuite, le clocher (et sa flèche), penchant au fil des années, va aussi subir une intervention dans le but que son poids soit parfaitement soutenu par la « nouvelle » charpente.
Le chantier va compter 280 jours d’intervention et est estimé à 372.000 euros TVAC. Il sera soutenu par un subside régional de 180.000 euros.
Ouverture au public du Pôle Muséal des Bateliers
