Comme le prouvent les nombreux chantiers entrepris, ci et là, sur le territoire de la Cité du Bia Bouquet, l’échevin du Patrimoine et des Bâtiments publics a mené à bien durant la législature un projet qui tient particulièrement à cœur.
Isolation, chauffage, éclairage, réfections des toitures, etc. : de nombreux paramètres ont été pris en considération avant de fixer les importants budgets destinés à améliorer les infrastructures mises à la disposition des citoyens. Écoles, salles de sport et autres locaux à vocation culturelle ou associative : de Belgrade à Naninne, en passant par Jambes, Salzinnes et le centre-ville, on a franchement mis le paquet.
Au cours de l’actuelle législature – et l’échevin des Bâtiments est particulièrement fier de ce résultat -, plus de cent vingt chantiers ont été ouverts (et autant de budgets octroyés) à Namur : « Soit trois fois plus que lors de l’exercice précédent. »
Plan Châssis, isolation de la toiture, placement de panneaux photovoltaïques, éclairage et nouvelle chaudière : en divers endroits, il s’agit d’une action combinée. Exemple : « À l’école de Beez, le placement de panneaux photovoltaïques a permis, depuis leur installation, de produire 10 640 kWh d’électricité et de devoir acheter seulement 1 500 kWh. Au total, c’est une économie de 1 808 € qui a déjà été réalisée, en un an ! »
Au théâtre royal de Namur (lieu énergivore par excellence), un nouveau système technologique de régulation de toute l’installation a induit un gain de 14 652 € par an sur la facture d’électricité.
Isolation, chauffage, éclairage, réfections des toitures, etc. : de nombreux paramètres ont été pris en considération avant de fixer les importants budgets destinés à améliorer les infrastructures mises à la disposition des citoyens. Écoles, salles de sport et autres locaux à vocation culturelle ou associative : de Belgrade à Naninne, en passant par Jambes, Salzinnes et le centre-ville, on a franchement mis le paquet.
Au cours de l’actuelle législature – et l’échevin des Bâtiments est particulièrement fier de ce résultat -, plus de cent vingt chantiers ont été ouverts (et autant de budgets octroyés) à Namur : « Soit trois fois plus que lors de l’exercice précédent. »
Plan Châssis, isolation de la toiture, placement de panneaux photovoltaïques, éclairage et nouvelle chaudière : en divers endroits, il s’agit d’une action combinée. Exemple : « À l’école de Beez, le placement de panneaux photovoltaïques a permis, depuis leur installation, de produire 10 640 kWh d’électricité et de devoir acheter seulement 1 500 kWh. Au total, c’est une économie de 1 808 € qui a déjà été réalisée, en un an ! »
Au théâtre royal de Namur (lieu énergivore par excellence), un nouveau système technologique de régulation de toute l’installation a induit un gain de 14 652 € par an sur la facture d’électricité.
Châssis et tubes fluorescents
Plus de 6 000 m2 : il s’agit du plus grand Plan Châssis jamais lancé en Wallonie. Depuis les premières poses, en 2009, près de 70 % des ouvrages – on est passé du simple au double vitrage – ont déjà été réalisés. Et Tanguy Auspert de citer quelques exemples.
« À l’école de Velaine (Jambes), on a remplacé, en 2007, tout le système d’éclairage (en plaçant notamment des tubes fluorescents, de nouvelle technologie). Gain : +/– 20 % de la consommation. Et, l’année dernière, on a placé les nouveaux châssis. Gain : +/– 15 % de la consommation. »
Mais aussi :« Des résultats tout aussi positifs ont été obtenus dans les écoles de Salzinnes (rues Juppin et de la Colline) et de Naninne ou encore à la bibliothèque communale (impasse des Capucins, à Namur). En quatre ans, l’évolution (à la baisse) des consommations se lit nettement sur les factures de gaz ou de mazout (une différence de plusieurs milliers d’euros). »
« À l’école de Velaine (Jambes), on a remplacé, en 2007, tout le système d’éclairage (en plaçant notamment des tubes fluorescents, de nouvelle technologie). Gain : +/– 20 % de la consommation. Et, l’année dernière, on a placé les nouveaux châssis. Gain : +/– 15 % de la consommation. »
Mais aussi :« Des résultats tout aussi positifs ont été obtenus dans les écoles de Salzinnes (rues Juppin et de la Colline) et de Naninne ou encore à la bibliothèque communale (impasse des Capucins, à Namur). En quatre ans, l’évolution (à la baisse) des consommations se lit nettement sur les factures de gaz ou de mazout (une différence de plusieurs milliers d’euros). »