Les Ateliers communaux, ou les Ateliers du Parc des Sources (dénommé, « Splendor »), sont situés à Belgrade. C’est le quartier général du Service de la Maintenance des Bâtiments de la Ville de Namur. Ils vont bénéficier d’un investissement conséquent de 454.762 € TVAC : une nouvelle chaufferie autoalimentée par panneaux photovoltaïques. Ce projet, dont le but est de réduire la facture énergétique, entre dans le cadre de la Politique intégrée de la Ville de Namur (PIV) et va donc être subsidié à hauteur de 203.810 €.
La Maintenance : centre névralgique de l’entretien des bâtiments communaux
La « Maintenance », ce n’est pas moins d’une soixantaine d’agent.e.s, 6 corps de métiers (maçons, menuisiers, peintres, plombiers, couvreurs et forgerons) et leurs ateliers. Mais elle est également composée d’agent.e.s spécialisé.e.s dans les techniques spéciales (chauffage et électricité) : l’Electromécanique.
Sa mission principale va, comme son nom l’indique, de la maintenance légère, à la maintenance lourde, en passant par des travaux d’extension et d’aménagements divers dans tous les bâtiments communaux (Hôtel de Ville, salles, communales, écoles, halls sportifs, …) : soit plus de 300 infrastructures.
Ces ateliers sont donc fréquemment occupés, en toute saison et le week-end. Dès lors, pour le bien-être du personnel mais tout en limitant l’impact énergétique, il fallait passer par ce projet de rénovation.
Vers une « autoconsommation » du site
Tout d’abord, il s’agit du remplacement des chaudières, actuellement de type atmosphérique, par des chaudières « gaz » à condensation. Il a été prévu de produire de l’eau chaude sanitaire via une pompe à chaleur à haute température.
Dans un premier temps, donc, il va falloir procéder à la fourniture, la pose, les raccordements des pompes à chaleur. Elles sont alimentées par une source froide (l’air extérieur) puis alimentent une source chaude (le circuit d’eau chaude). Une telle installation implique un changement des conduites, une amélioration de la ventilation et une modification des canalisations de gaz.
Pour être clair, la pompe à chaleur à haute température est un nouveau consommateur d’électricité. Cependant, le projet prévoit de compenser cela par l’ajout de panneaux photovoltaïques. La puissance installée sera de 100kWc (kilowatt-crête) et devrait couvrir, en partie, la consommation électrique annuelle de l’ensemble du site.
De plus, le bâtiment tendera vers « l’autoconsommation » étant donné que la production électrique se déroulera essentiellement pendant l’occupation du bâtiment.
Tanguy Auspert, Echevin des Bâtiments communaux, se réjouit de pouvoir dire que ces nouvelles installations vont permettre de réduire la facture énergétique. A ce stade du projet, nous pouvons déjà envisager une réduction de la consommation de l’ordre de 40 à 50% en électricité et de l’ordre de 15 à 20% pour le gaz.
La Maintenance : centre névralgique de l’entretien des bâtiments communaux
La « Maintenance », ce n’est pas moins d’une soixantaine d’agent.e.s, 6 corps de métiers (maçons, menuisiers, peintres, plombiers, couvreurs et forgerons) et leurs ateliers. Mais elle est également composée d’agent.e.s spécialisé.e.s dans les techniques spéciales (chauffage et électricité) : l’Electromécanique.
Sa mission principale va, comme son nom l’indique, de la maintenance légère, à la maintenance lourde, en passant par des travaux d’extension et d’aménagements divers dans tous les bâtiments communaux (Hôtel de Ville, salles, communales, écoles, halls sportifs, …) : soit plus de 300 infrastructures.
Ces ateliers sont donc fréquemment occupés, en toute saison et le week-end. Dès lors, pour le bien-être du personnel mais tout en limitant l’impact énergétique, il fallait passer par ce projet de rénovation.
Vers une « autoconsommation » du site
Tout d’abord, il s’agit du remplacement des chaudières, actuellement de type atmosphérique, par des chaudières « gaz » à condensation. Il a été prévu de produire de l’eau chaude sanitaire via une pompe à chaleur à haute température.
Dans un premier temps, donc, il va falloir procéder à la fourniture, la pose, les raccordements des pompes à chaleur. Elles sont alimentées par une source froide (l’air extérieur) puis alimentent une source chaude (le circuit d’eau chaude). Une telle installation implique un changement des conduites, une amélioration de la ventilation et une modification des canalisations de gaz.
Pour être clair, la pompe à chaleur à haute température est un nouveau consommateur d’électricité. Cependant, le projet prévoit de compenser cela par l’ajout de panneaux photovoltaïques. La puissance installée sera de 100kWc (kilowatt-crête) et devrait couvrir, en partie, la consommation électrique annuelle de l’ensemble du site.
De plus, le bâtiment tendera vers « l’autoconsommation » étant donné que la production électrique se déroulera essentiellement pendant l’occupation du bâtiment.
Tanguy Auspert, Echevin des Bâtiments communaux, se réjouit de pouvoir dire que ces nouvelles installations vont permettre de réduire la facture énergétique. A ce stade du projet, nous pouvons déjà envisager une réduction de la consommation de l’ordre de 40 à 50% en électricité et de l’ordre de 15 à 20% pour le gaz.
Les ateliers rénovés en 2012
Il faut rappeler que le site de Splendor a été réaménagé en 2012 afin d’accueillir, sous l’impulsion de Tanguy Auspert, tous les corps de métier aujourd’hui présents au sein des ateliers.
Le Service Maintenance a, alors, été doté d’une toute nouvelle forge qui a permis de traiter, séparément, le fer, l’aluminium et l’inox. Une plieuse et une trancheuse ont également été acquises afin de doter l’équipe des forgerons d’un matériel haut de gamme. De leurs côtés, les menuisiers disposent également de machines performantes pouvant, au besoin façonner, des châssis.
Il faut rappeler que le site de Splendor a été réaménagé en 2012 afin d’accueillir, sous l’impulsion de Tanguy Auspert, tous les corps de métier aujourd’hui présents au sein des ateliers.
Le Service Maintenance a, alors, été doté d’une toute nouvelle forge qui a permis de traiter, séparément, le fer, l’aluminium et l’inox. Une plieuse et une trancheuse ont également été acquises afin de doter l’équipe des forgerons d’un matériel haut de gamme. De leurs côtés, les menuisiers disposent également de machines performantes pouvant, au besoin façonner, des châssis.