Erigée en 1848 entre la Meuse et les versants boisés de Wépion, l’Eglise Notre-Dame de Fooz fait partie intégrante du paysage de Wépion au point de s’y confondre.
Ce sanctuaire consacré à Notre-Dame de Fooz avait néanmoins, au fil du temps, perdu de sa superbe.
C’est ainsi qu’à l’entame de la législature 2006-2012, il a été donné à Tanguy AUSPERT, Echevin du Patrimoine, de constater à quel point l’église était mal-en-point. Les ardoises faisaient grises mines, les charpentes étaient devenues filantes, les maçonneries chancelantes sans parler de l’état des châssis ou de l’installation électrique qui avaient de quoi effrayer même le coq le hardi trônant à la cime du clocher.
Condamné par certains pour avoir le tort d’être un édifice du culte, cette propriété communale était vouée à succomber de ses maux si aucune intervention n’était rapidement entreprise pour lui redonner son lustre d’antan.
Grâce à la ténacité du Père Marius et des membres de la Fabrique d’église, le week-end des 16 et 17 novembre a consacré l’aboutissement d’un long processus de rénovation, mené à bien par la Ville de Namur, des charpentes, de la toiture ainsi que de l’intérieur de l’église avec prochainement un tout nouvel éclairage. Ceci sans oublier sans la présence du coq Pierre qui trône désormais aux destinées de l’église.
Il s’agissait ni plus, ni moins que de procéder à l’enlèvement de l’ancienne charpente pour placer une toute nouvelle et ainsi garantir la pérennité de l’édifice qui fête ses 165 ans.
L’ensemble de ces travaux particulièrement conséquents avoisinent les 360.000 euros TVAC pour un résultat à la hauteur des espérances.
Le concert organisé le samedi soir a démontré à suffisance qu’un lieu de culte n’a pas qu’une dimension unique mais a bien d’autres vocations, comme permettre à la culture en général et à la musique de pouvoir s’exprimer.
Ce sanctuaire consacré à Notre-Dame de Fooz avait néanmoins, au fil du temps, perdu de sa superbe.
C’est ainsi qu’à l’entame de la législature 2006-2012, il a été donné à Tanguy AUSPERT, Echevin du Patrimoine, de constater à quel point l’église était mal-en-point. Les ardoises faisaient grises mines, les charpentes étaient devenues filantes, les maçonneries chancelantes sans parler de l’état des châssis ou de l’installation électrique qui avaient de quoi effrayer même le coq le hardi trônant à la cime du clocher.
Condamné par certains pour avoir le tort d’être un édifice du culte, cette propriété communale était vouée à succomber de ses maux si aucune intervention n’était rapidement entreprise pour lui redonner son lustre d’antan.
Grâce à la ténacité du Père Marius et des membres de la Fabrique d’église, le week-end des 16 et 17 novembre a consacré l’aboutissement d’un long processus de rénovation, mené à bien par la Ville de Namur, des charpentes, de la toiture ainsi que de l’intérieur de l’église avec prochainement un tout nouvel éclairage. Ceci sans oublier sans la présence du coq Pierre qui trône désormais aux destinées de l’église.
Il s’agissait ni plus, ni moins que de procéder à l’enlèvement de l’ancienne charpente pour placer une toute nouvelle et ainsi garantir la pérennité de l’édifice qui fête ses 165 ans.
L’ensemble de ces travaux particulièrement conséquents avoisinent les 360.000 euros TVAC pour un résultat à la hauteur des espérances.
Le concert organisé le samedi soir a démontré à suffisance qu’un lieu de culte n’a pas qu’une dimension unique mais a bien d’autres vocations, comme permettre à la culture en général et à la musique de pouvoir s’exprimer.