L’église de Gelbressée est un des joyaux du patrimoine religieux de la Ville de Namur. C’est pour cela qu’il était temps de repeindre son intérieur.
Ainsi, l’échevin de Patrimoine, Tanguy Auspert, et le service de Maintenance de la Ville ont entrepris un rafraichissement complet des peintures intérieures de l’édifice dans le courant de la mi-novembre. Et un mois plus tard, le résultat est impressionnant. L’église a retrouvé tout son éclat.
Murs, statues… Tout a été rénové à la satisfation des paroissiens et de tous ceux qui portent un intérêt à cette église classée. Pour certaines statues, la Ville de Namur a dû faire appel à un peintre professionnel.
Car oui, l’église de Gelbressée est classée.
Un brin d’histoire…
Les bénévoles qui gravitent autour de l’édifice sont de véritables passionnés. Le site internet dédié à la paroisse est extrêmement détaillé. Ce qui permet d’en savoir un peu plus sur ce patrimoine exceptionnel.
« Par son architecture et son cadre de verdure, l’église est souvent choisie pour la célébration de mariages et de baptêmes. Ce monument, classé le 1er février 1936, et les terrains environnants, classés le 4 octobre 1974 », peut-on lire sur la page internet de l’église.
Si on se réfère aux recherches entreprises et aux informations recueillies sur le site, « le nom de Gelbressée proviendrait du Seigneur de Ghislebert. Il aurait occupé le lieu au 11ème siècle. Installée sur un promontoire, l’église romane primitive du 12ème siècle fut construite autour du donjon d’un ancien château-fort du 11ème siècle. Le mur d’enceinte du château constitue la délimitation de l’actuel cimetière. »
Autant dire que ce monument est un petit morceau de l’histoire namuroise. Il dépend de la paroisse de Marchovelette depuis 1803. Qui plus est « la mise à jour en 1985, dans le porche d’entrée, de deux jugements derniers des 13ème et 14ème siècles suscita une attention toute particulière de l’Institut Royal du Patrimoine Artistique pour la conservation de ces peintures. »
C’est pour cette raison notamment qu’un pan de mur entier de l’édifice demeure intact car il présente ces anciennes peintures, témoins d’un passé aujourd’hui classé.
Ainsi, l’échevin de Patrimoine, Tanguy Auspert, et le service de Maintenance de la Ville ont entrepris un rafraichissement complet des peintures intérieures de l’édifice dans le courant de la mi-novembre. Et un mois plus tard, le résultat est impressionnant. L’église a retrouvé tout son éclat.
Murs, statues… Tout a été rénové à la satisfation des paroissiens et de tous ceux qui portent un intérêt à cette église classée. Pour certaines statues, la Ville de Namur a dû faire appel à un peintre professionnel.
Car oui, l’église de Gelbressée est classée.
Un brin d’histoire…
Les bénévoles qui gravitent autour de l’édifice sont de véritables passionnés. Le site internet dédié à la paroisse est extrêmement détaillé. Ce qui permet d’en savoir un peu plus sur ce patrimoine exceptionnel.
« Par son architecture et son cadre de verdure, l’église est souvent choisie pour la célébration de mariages et de baptêmes. Ce monument, classé le 1er février 1936, et les terrains environnants, classés le 4 octobre 1974 », peut-on lire sur la page internet de l’église.
Si on se réfère aux recherches entreprises et aux informations recueillies sur le site, « le nom de Gelbressée proviendrait du Seigneur de Ghislebert. Il aurait occupé le lieu au 11ème siècle. Installée sur un promontoire, l’église romane primitive du 12ème siècle fut construite autour du donjon d’un ancien château-fort du 11ème siècle. Le mur d’enceinte du château constitue la délimitation de l’actuel cimetière. »
Autant dire que ce monument est un petit morceau de l’histoire namuroise. Il dépend de la paroisse de Marchovelette depuis 1803. Qui plus est « la mise à jour en 1985, dans le porche d’entrée, de deux jugements derniers des 13ème et 14ème siècles suscita une attention toute particulière de l’Institut Royal du Patrimoine Artistique pour la conservation de ces peintures. »
C’est pour cette raison notamment qu’un pan de mur entier de l’édifice demeure intact car il présente ces anciennes peintures, témoins d’un passé aujourd’hui classé.
L'heure des remerciements
Le Quintet cuivre des élèves de l'IMEP
L'intégralité du "Brass Quintet n°1, opus 5" de Viktor EWALD