Une nouvelle fois, le « Vivre Ensemble » en cœur de village est assuré.
Le Service de la Maintenance des Bâtiments, sous l’impulsion de l’Echevin du Patrimoine, Tanguy Auspert, s’est investi pendant plusieurs mois afin de rendre une nouvelle jeunesse à la salle du Tronquoy, à Wierde.
Les principaux travaux ont permis de rafraîchir les lieux. Voici en détails en quoi a consisté cette remise à neuf des installations :
- Mise en conformité électrique
- Remise en peinture complète
- Réaménagement du bar
- Rénovation des sanitaires
- Création d’un hall d’entrée
- Isolation acoustique et placement d’un sonomètre
- Création d’une terrasse à l’arrière et de sa couverture (permettant ainsi l’installation d’un coin fumeur à l’arrière de la salle)
Maintien du tissu associatif local avant tout !
Toutes ces interventions font suite à la reprise des lieux par la Ville de Namur.
Souvenez-vous, en 2022, l’ASBL « Les Compagnons du Tronquoy » décidait de renoncer au bail emphytéotique. En cause ? La gestion de la salle était devenue trop lourde pour l’association. Les charges et l’entretien avaient un impact trop important sur le budget associatif local.
« Les Compagnons du Tronquoy » souhaitaient, effectivement, se focaliser sur l’organisation de leurs évènements (Kermesse, Fête des Chapeaux, etc…) au sein de la salle. Dès lors, il lui a été proposé de signer une convention d’occupation à usage précaire.
Grâce à cela, le tissu associatif, si important dans nos villages, est maintenu sans mettre les petites associations en péril, financièrement.
Pour rappel, la convention prévoit que l’ASBL aura la jouissance de la salle en semaine et 8 week-ends par an et que la Ville de Namur en assure la gestion, le reste du temps.
Cette solution n’est pas nouvelle en matière de gestion de salle communale. En effet, elle s’applique déjà pour la salle Materne (Jambes), la salle Al’Copette (Dave), la salle Al’Volée (Flawinne) et la salle Amon nos Otes (Daussoulx).
Par ces diverses initiatives, Tanguy Auspert démontre, une nouvelle fois, que la vie dans les villages est tout aussi importante que la revitalisation du centre-ville de la Capitale wallonne
Le Service de la Maintenance des Bâtiments, sous l’impulsion de l’Echevin du Patrimoine, Tanguy Auspert, s’est investi pendant plusieurs mois afin de rendre une nouvelle jeunesse à la salle du Tronquoy, à Wierde.
Les principaux travaux ont permis de rafraîchir les lieux. Voici en détails en quoi a consisté cette remise à neuf des installations :
- Mise en conformité électrique
- Remise en peinture complète
- Réaménagement du bar
- Rénovation des sanitaires
- Création d’un hall d’entrée
- Isolation acoustique et placement d’un sonomètre
- Création d’une terrasse à l’arrière et de sa couverture (permettant ainsi l’installation d’un coin fumeur à l’arrière de la salle)
Maintien du tissu associatif local avant tout !
Toutes ces interventions font suite à la reprise des lieux par la Ville de Namur.
Souvenez-vous, en 2022, l’ASBL « Les Compagnons du Tronquoy » décidait de renoncer au bail emphytéotique. En cause ? La gestion de la salle était devenue trop lourde pour l’association. Les charges et l’entretien avaient un impact trop important sur le budget associatif local.
« Les Compagnons du Tronquoy » souhaitaient, effectivement, se focaliser sur l’organisation de leurs évènements (Kermesse, Fête des Chapeaux, etc…) au sein de la salle. Dès lors, il lui a été proposé de signer une convention d’occupation à usage précaire.
Grâce à cela, le tissu associatif, si important dans nos villages, est maintenu sans mettre les petites associations en péril, financièrement.
Pour rappel, la convention prévoit que l’ASBL aura la jouissance de la salle en semaine et 8 week-ends par an et que la Ville de Namur en assure la gestion, le reste du temps.
Cette solution n’est pas nouvelle en matière de gestion de salle communale. En effet, elle s’applique déjà pour la salle Materne (Jambes), la salle Al’Copette (Dave), la salle Al’Volée (Flawinne) et la salle Amon nos Otes (Daussoulx).
Par ces diverses initiatives, Tanguy Auspert démontre, une nouvelle fois, que la vie dans les villages est tout aussi importante que la revitalisation du centre-ville de la Capitale wallonne