Les dirigeants et affiliés du TT Loyers ont le sourire. Depuis le début du mois de janvier, les pongistes peuvent taper la balle dans la magnifique salle, construite entre le terrain de football et la salle omnisports.
L’aboutissement d’un long combat, mené par le président Claude Hanrez et son fidèle secrétaire, Vincent Deguelle. «Cela fait des années que l’on parlait d’une nouvelle salle de tennis de table, rappelle Claude. C’est finalement en 2013 que le projet, piloté par le club, s’est concrétisé. Quatre ans plus tard, nous avons signé avec la Ville une convention nous accordant un droit de superficie pour une durée de 50 ans, pour un terrain situé juste derrière le hall sportif.»
Après l’évacuation de plusieurs tonnes de terre, la première pierre a été posée en mai 2018. Et ce dimanche, les responsables du ping loyersois ont déroulé le tapis rouge pour l’inauguration officielle. Une inauguration précédée d’un match d’exhibition entre Jean-Michel Saive et Benjamin Rogiers, qui ont amusé les nombreux invités.
Après plus de 40 ans dans une salle de la rue de Bel Air, devenue exiguë pour un cercle qui compte 85 affiliés et aligne onze équipes masculines et quatre triplettes féminines,les Loyersois évoluent dans une infrastructure de 650 m2. L’aire de jeu permet de disposer six tables en compétitions et dix à l’entraînement. La conception du projet est telle que l’accès à la salle et aux sanitaires peut se faire tout à fait indépendamment de l’accès à la buvette, particulièrement spacieuse, et la salle de réunion.
Le coût des travaux s’élève à 750 000€. Le club bénéficie d’un subside d’Infrasports de 490 000€ et d’une aide de la Ville de 130 000€. «Nous devons débourser 130 000€ sur fonds propres, assure le président. Une somme que nous avons pu thésauriser grâce à la mi-août.»
Comme ce fut le cas pour le cercle d’Andoy, l’aboutissement d’un tel projet permettra d’atteindre la centaine d’affiliés. «On va pouvoir se recentrer sur le recrutement et établir un partenariat avec les écoles, pour accueillir de nouveaux petits jeunes.»
Des jeunes qui, ce dimanche, ont déjà pu échanger quelques balles avec Jean-Michel Saive.
(L'Avenir-édition Namur)
L’aboutissement d’un long combat, mené par le président Claude Hanrez et son fidèle secrétaire, Vincent Deguelle. «Cela fait des années que l’on parlait d’une nouvelle salle de tennis de table, rappelle Claude. C’est finalement en 2013 que le projet, piloté par le club, s’est concrétisé. Quatre ans plus tard, nous avons signé avec la Ville une convention nous accordant un droit de superficie pour une durée de 50 ans, pour un terrain situé juste derrière le hall sportif.»
Après l’évacuation de plusieurs tonnes de terre, la première pierre a été posée en mai 2018. Et ce dimanche, les responsables du ping loyersois ont déroulé le tapis rouge pour l’inauguration officielle. Une inauguration précédée d’un match d’exhibition entre Jean-Michel Saive et Benjamin Rogiers, qui ont amusé les nombreux invités.
Après plus de 40 ans dans une salle de la rue de Bel Air, devenue exiguë pour un cercle qui compte 85 affiliés et aligne onze équipes masculines et quatre triplettes féminines,les Loyersois évoluent dans une infrastructure de 650 m2. L’aire de jeu permet de disposer six tables en compétitions et dix à l’entraînement. La conception du projet est telle que l’accès à la salle et aux sanitaires peut se faire tout à fait indépendamment de l’accès à la buvette, particulièrement spacieuse, et la salle de réunion.
Le coût des travaux s’élève à 750 000€. Le club bénéficie d’un subside d’Infrasports de 490 000€ et d’une aide de la Ville de 130 000€. «Nous devons débourser 130 000€ sur fonds propres, assure le président. Une somme que nous avons pu thésauriser grâce à la mi-août.»
Comme ce fut le cas pour le cercle d’Andoy, l’aboutissement d’un tel projet permettra d’atteindre la centaine d’affiliés. «On va pouvoir se recentrer sur le recrutement et établir un partenariat avec les écoles, pour accueillir de nouveaux petits jeunes.»
Des jeunes qui, ce dimanche, ont déjà pu échanger quelques balles avec Jean-Michel Saive.
(L'Avenir-édition Namur)