Après que le chef d’édition de la Meuse ait affirmé dans un premier temps au sujet de la vente de l’immeuble Golenvaux à l’Institut Saint-Louis qu’il est "Difficile d’être plus clair : l’échevin du Patrimoine œuvre en coulisse pour écarter des concurrents dans un appel d’offres", voici maintenant qu’il n’hésite pas à sous-titrer que : "Saint-Louis est le dindon de la farce" !
Si dans son édition du 9 octobre 2010, l’intéressé indiquait "qu’on peut affirmer sans risque de se tromper que cette intervention vise à privilégier un concurrent et biaise les règles de l’appel d’offres", celui-ci relève que selon la thèse d’un conseiller communal : "Saint-Louis n’a pas été favorisé dans cette histoire". "Au contraire, l’école a dû payer le bien 65.000 euros en plus que son offre initiale !".
Souvenez-vous que le chef d’édition de la Meuse n’hésitait pas non plus à affirmer "qu’on avait recommencé la procédure à zéro quand le Collège a appris les agissements de Tanguy Auspert" alors qu’à suivre la thèse développée par ce conseiller communal j’aurais invoqué lors du conseil communal du 16 mars 2009 une intervention de la Tutelle pour justifier le fait que la procédure avait été recommencée à zéro.
Au-delà de la contradiction manifeste au sujet de ma proposition de confier la vente de l’immeuble Golenvaux au Comité d’acquisition, une simple lecture attentive et objective du p-v du conseil communal du 16 mars 2009 permet de balayer d’un revers de la main ces contre-vérités. Il en va de même pour ce qui concerne la validité de l’offre de Saint-Louis en l’absence d’attestation bancaire.
Au passage, je relève que le Ministre de Tutelle a non seulement considéré que la proposition formulée par ce conseiller communal était illégale mais qu’il convenait de réclamer ladite attestation bancaire auprès de l’Institut Saint-Louis !
Par contre, il est vrai que j’ai souhaité être déchargé de ce dossier dès le moment où le Conseil communal du 16 mars 2009 n’a pas suivi ma proposition de confier la vente de cet immeuble au SPF Finances.
Si le chef d’édition de la Meuse n’a eu de cesse d’affirmer que j’aurais menti lorsque j’ai précisé ne jamais avoir négocié au téléphone avec le directeur de l’Institut Saint-Louis, je dois bien constater que cette allégation est contredite par ce même conseiller communal lorsqu’il relève que la conversation donnée par l’Institut Saint-Louis fait apparaître "qu’9 reprises ( !), l’échevin invite Saint-Louis à remettre offre à l’agence immobilière X".
Inviter à 9 reprises l’Institut Saint-Louis à remettre offre à l’agence immobilière désignée, dans le cadre d’un marché public, conformément à la volonté du Conseil communal du 23 juin 2008 de confier la vente de cet immeuble à une agence immobilière ou un notaire démontre clairement qu’il n'y a aucune intention dans mon chef de négocier en direct et par téléphone avec Saint-Louis. Le simple fait de recevoir un coup de téléphone, ce qui n’a jamais été nié, ne permet pas d’affirmer que j’ai négocié en direct la vente de cet immeuble. De même que la mise en avant de certaines phrases reprises hors de leur contexte.
Au regard du nombre de contre-vérités, de contradictions manifestes, d’éléments contraires à la réalité des faits et des pièces du dossier, on peut légitiment se poser la question si le mot "menteur" ne devrait pas être endossé par ceux-là même qui tentent coûte que coûte d’accoler ce mot à mon nom.
Tanguy AUSPERT,
Echevin du Patrimoine, des Bâtiments et de la Jeunesse
Si dans son édition du 9 octobre 2010, l’intéressé indiquait "qu’on peut affirmer sans risque de se tromper que cette intervention vise à privilégier un concurrent et biaise les règles de l’appel d’offres", celui-ci relève que selon la thèse d’un conseiller communal : "Saint-Louis n’a pas été favorisé dans cette histoire". "Au contraire, l’école a dû payer le bien 65.000 euros en plus que son offre initiale !".
Souvenez-vous que le chef d’édition de la Meuse n’hésitait pas non plus à affirmer "qu’on avait recommencé la procédure à zéro quand le Collège a appris les agissements de Tanguy Auspert" alors qu’à suivre la thèse développée par ce conseiller communal j’aurais invoqué lors du conseil communal du 16 mars 2009 une intervention de la Tutelle pour justifier le fait que la procédure avait été recommencée à zéro.
Au-delà de la contradiction manifeste au sujet de ma proposition de confier la vente de l’immeuble Golenvaux au Comité d’acquisition, une simple lecture attentive et objective du p-v du conseil communal du 16 mars 2009 permet de balayer d’un revers de la main ces contre-vérités. Il en va de même pour ce qui concerne la validité de l’offre de Saint-Louis en l’absence d’attestation bancaire.
Au passage, je relève que le Ministre de Tutelle a non seulement considéré que la proposition formulée par ce conseiller communal était illégale mais qu’il convenait de réclamer ladite attestation bancaire auprès de l’Institut Saint-Louis !
Par contre, il est vrai que j’ai souhaité être déchargé de ce dossier dès le moment où le Conseil communal du 16 mars 2009 n’a pas suivi ma proposition de confier la vente de cet immeuble au SPF Finances.
Si le chef d’édition de la Meuse n’a eu de cesse d’affirmer que j’aurais menti lorsque j’ai précisé ne jamais avoir négocié au téléphone avec le directeur de l’Institut Saint-Louis, je dois bien constater que cette allégation est contredite par ce même conseiller communal lorsqu’il relève que la conversation donnée par l’Institut Saint-Louis fait apparaître "qu’9 reprises ( !), l’échevin invite Saint-Louis à remettre offre à l’agence immobilière X".
Inviter à 9 reprises l’Institut Saint-Louis à remettre offre à l’agence immobilière désignée, dans le cadre d’un marché public, conformément à la volonté du Conseil communal du 23 juin 2008 de confier la vente de cet immeuble à une agence immobilière ou un notaire démontre clairement qu’il n'y a aucune intention dans mon chef de négocier en direct et par téléphone avec Saint-Louis. Le simple fait de recevoir un coup de téléphone, ce qui n’a jamais été nié, ne permet pas d’affirmer que j’ai négocié en direct la vente de cet immeuble. De même que la mise en avant de certaines phrases reprises hors de leur contexte.
Au regard du nombre de contre-vérités, de contradictions manifestes, d’éléments contraires à la réalité des faits et des pièces du dossier, on peut légitiment se poser la question si le mot "menteur" ne devrait pas être endossé par ceux-là même qui tentent coûte que coûte d’accoler ce mot à mon nom.
Tanguy AUSPERT,
Echevin du Patrimoine, des Bâtiments et de la Jeunesse