Tout commence avec les travaux de l’école de la Court’ Echelle. Un chantier qui s’est terminé fin 2017. Un dossier initié en 2013.
Les travaux consistaient en une refonte totale des espaces intérieurs. La halte-garderie des « Canailloux » se trouvait dans les locaux de cette école du Centre. Pendant le chantier, il a fallu déménager tout ce « petit » monde. En ce qui concerne les enfants de la halte, ils ont rejoint les « P’tits Pouyons », alors situés rue des Brasseurs. Canailloux et Pouyons ne firent alors plus qu’un, avec une capacité passant de 51 à 74 enfants.
Mais c’était sans compter sur les futurs travaux du téléphérique. En effet, la crèche des « P’tits Pouyons » se trouvant sur le trajet du futur outil touristique, il a fallu trouver une solution.
Une solution toute trouvée au sein du projet de rénovation de la Court’Echelle. En effet, pour l’échevin du Patrimoine, Tanguy Auspert, il était nécessaire de garder et de disposer d’un milieu d’accueil pour la petite enfance dans le Centre de Namur. Comme c’était le cas avec les « Canailloux ». L’objectif est, évidemment, de mettre cet outil à disposition des parents qui travaillent à proximité.
Si la nouvelle école se situe surtout au rez-de-chaussée (maternelles et primaires), la nouvelle crèche du centre se trouve, elle, au 1er, 2e et 3e étage.
Aujourd’hui, ce nouvel établissement, correspond à la priorité de l’échevin : autrement dit, fournir un enseignement et un accueil pour la petite enfance de qualité, à destination d’un personnel exemplaire et des enfants. Après tout, c’est avec les générations futures que l’on construit l’avenir.
Rappelons que la Ville de Namur n’a pas lésiné sur les moyens, investissant pas moins de 2.058.983 euros sur fonds propres, pour transformer les lieux. Des lieux entièrement accessibles à tous grâce à un tout nouvel ascenseur.
L’échevin tient, évidemment, à remercier tous ceux qui ont travaillé sur le dossier tant au sein du BEB (Bureau d’études Bâtiments de la Ville), à la société d’architectes B-Solution, qu’au sein de l’entreprise responsable du chantier, la société Dherte. Il tient également à souligner l’excellente collaboration avec le corps enseignant, le courage et la patience dont il a fait preuve.
Les travaux consistaient en une refonte totale des espaces intérieurs. La halte-garderie des « Canailloux » se trouvait dans les locaux de cette école du Centre. Pendant le chantier, il a fallu déménager tout ce « petit » monde. En ce qui concerne les enfants de la halte, ils ont rejoint les « P’tits Pouyons », alors situés rue des Brasseurs. Canailloux et Pouyons ne firent alors plus qu’un, avec une capacité passant de 51 à 74 enfants.
Mais c’était sans compter sur les futurs travaux du téléphérique. En effet, la crèche des « P’tits Pouyons » se trouvant sur le trajet du futur outil touristique, il a fallu trouver une solution.
Une solution toute trouvée au sein du projet de rénovation de la Court’Echelle. En effet, pour l’échevin du Patrimoine, Tanguy Auspert, il était nécessaire de garder et de disposer d’un milieu d’accueil pour la petite enfance dans le Centre de Namur. Comme c’était le cas avec les « Canailloux ». L’objectif est, évidemment, de mettre cet outil à disposition des parents qui travaillent à proximité.
Si la nouvelle école se situe surtout au rez-de-chaussée (maternelles et primaires), la nouvelle crèche du centre se trouve, elle, au 1er, 2e et 3e étage.
Aujourd’hui, ce nouvel établissement, correspond à la priorité de l’échevin : autrement dit, fournir un enseignement et un accueil pour la petite enfance de qualité, à destination d’un personnel exemplaire et des enfants. Après tout, c’est avec les générations futures que l’on construit l’avenir.
Rappelons que la Ville de Namur n’a pas lésiné sur les moyens, investissant pas moins de 2.058.983 euros sur fonds propres, pour transformer les lieux. Des lieux entièrement accessibles à tous grâce à un tout nouvel ascenseur.
L’échevin tient, évidemment, à remercier tous ceux qui ont travaillé sur le dossier tant au sein du BEB (Bureau d’études Bâtiments de la Ville), à la société d’architectes B-Solution, qu’au sein de l’entreprise responsable du chantier, la société Dherte. Il tient également à souligner l’excellente collaboration avec le corps enseignant, le courage et la patience dont il a fait preuve.