Alors, même s’ils ne font pas cela pour les honneurs, même si c’est le souci des autres qui les anime, je tiens à témoigner mon respect et ma considération pour tous ceux qui ont lancé et soutenu jusqu’à présent ce défi.
Si les organisateurs sont restés mobilisés, c’est aussi parce que le public a répondu présent. Et a même montré de l’enthousiasme. Que ce soit en participant directement au défi, en visitant le site ou en suivant avec intérêt les différentes animations.
Je tiens à remercier tous les membres de l’Amicale, tous les sapeurs-pompiers qui, en plus d’accomplir les tâches qui leur sont dévolues, s’investissent un peu, beaucoup ou passionnément dans l’évènement de ce jour. Ils donnent ainsi un éclat supplémentaire à leur profession. En renforçant l’image incontournable de leur savoir-faire dans le domaine de la formation et du secours à la personne en général, et en matière de réanimation cardio-pulmonaire en particulier.
Mais l’essentiel, c’est de constater que les 25 Heures réanimation permettent de familiariser de nombreuses personnes avec les techniques de réanimation et que grâce à cela, des vies pourront être sauvées par des personnes qui jusque-là se seraient considérées comme impuissantes et incapables d’intervenir.
Il est interpellant en effet de se rappeler qu’il n’y a pas si longtemps, l’utilisation des défibrillateurs externes automatiques était exclusivement réservée à certains initiés. Et qu’il a fallu attendre 2007 pour que toute personne soit légalement autorisée à les utiliser. Alors que c’est à la portée du citoyen lambda, après quelques bonnes explications, comme certains vont le découvrir aujourd’hui ou demain.
Outre la formation, la Ville de Namur est bien consciente aussi de la nécessité de poursuivre l'implantation des défibrillateurs semi-automatiques, notamment dans les lieux publics.
Il est tout de même étonnant avec le recul de se rappeler qu’en 2010, l’installation d’une vingtaine de défibrillateurs pour toute la Province de Namur était annoncée dans la presse comme un grand progrès.
La Ville de Namur, pour sa part, s’est équipée récemment de nouveaux appareils, qui ont été placés à différents endroits : la bibliothèque principale, la citadelle, le Parc Attractif Reine Fabiola et l’Îlot des Bateliers.
D’autres emplacements étaient déjà équipés. Je pense à l’Hôtel de Ville, aux ateliers Bâtiments et Electro, aux ateliers Voirie et Prêt matériel, au réfectoire des Espaces verts, et bien entendu aux halls sportifs et à d’autres installations comme des terrains de tennis.
Des séances d’information ont été organisées à plusieurs reprises par le Service des Relations humaines de la Ville. Près de 300 agents communaux les ont suivies et ont pu ainsi être, je l’espère, rendus plus confiants par rapport à l’utilisation des défibrillateurs. Que ce soit en vue d’une éventuelle utilisation sur leur lieu de travail ou à l’extérieur.
Je remercie les chevilles ouvrières de ces formations et les agents communaux qui se sont investis dans cette démarche.
Si les organisateurs sont restés mobilisés, c’est aussi parce que le public a répondu présent. Et a même montré de l’enthousiasme. Que ce soit en participant directement au défi, en visitant le site ou en suivant avec intérêt les différentes animations.
Je tiens à remercier tous les membres de l’Amicale, tous les sapeurs-pompiers qui, en plus d’accomplir les tâches qui leur sont dévolues, s’investissent un peu, beaucoup ou passionnément dans l’évènement de ce jour. Ils donnent ainsi un éclat supplémentaire à leur profession. En renforçant l’image incontournable de leur savoir-faire dans le domaine de la formation et du secours à la personne en général, et en matière de réanimation cardio-pulmonaire en particulier.
Mais l’essentiel, c’est de constater que les 25 Heures réanimation permettent de familiariser de nombreuses personnes avec les techniques de réanimation et que grâce à cela, des vies pourront être sauvées par des personnes qui jusque-là se seraient considérées comme impuissantes et incapables d’intervenir.
Il est interpellant en effet de se rappeler qu’il n’y a pas si longtemps, l’utilisation des défibrillateurs externes automatiques était exclusivement réservée à certains initiés. Et qu’il a fallu attendre 2007 pour que toute personne soit légalement autorisée à les utiliser. Alors que c’est à la portée du citoyen lambda, après quelques bonnes explications, comme certains vont le découvrir aujourd’hui ou demain.
Outre la formation, la Ville de Namur est bien consciente aussi de la nécessité de poursuivre l'implantation des défibrillateurs semi-automatiques, notamment dans les lieux publics.
Il est tout de même étonnant avec le recul de se rappeler qu’en 2010, l’installation d’une vingtaine de défibrillateurs pour toute la Province de Namur était annoncée dans la presse comme un grand progrès.
La Ville de Namur, pour sa part, s’est équipée récemment de nouveaux appareils, qui ont été placés à différents endroits : la bibliothèque principale, la citadelle, le Parc Attractif Reine Fabiola et l’Îlot des Bateliers.
D’autres emplacements étaient déjà équipés. Je pense à l’Hôtel de Ville, aux ateliers Bâtiments et Electro, aux ateliers Voirie et Prêt matériel, au réfectoire des Espaces verts, et bien entendu aux halls sportifs et à d’autres installations comme des terrains de tennis.
Des séances d’information ont été organisées à plusieurs reprises par le Service des Relations humaines de la Ville. Près de 300 agents communaux les ont suivies et ont pu ainsi être, je l’espère, rendus plus confiants par rapport à l’utilisation des défibrillateurs. Que ce soit en vue d’une éventuelle utilisation sur leur lieu de travail ou à l’extérieur.
Je remercie les chevilles ouvrières de ces formations et les agents communaux qui se sont investis dans cette démarche.