Je suis né le 12 février 1965. C’est à Jambes que je prends mes racines, dernier d’une famille de 4 garçons, fils d’un militaire de la force aérienne et d’une institutrice.
Le judo était l’art martial pratiqué par l’ensemble de notre famille. Quatre frères et quatre champions de Belgique.
Je fus quelques temps membre du Patro de Jambes, et actif au sein de différentes associations de jeunes locales.
C’est en 1983, âgé alors de 18 ans que j’entre en politique en tant que président local des Jeunes Sociaux Chrétiens de Namur.
Autre élément important dans ma vie, l’asbl "Espace Rencontre de Namur " que j’ai la fierté d’avoir fondé et dont l’objet social est de remettre en contact des enfants séparés d’un de leurs parents. Aujourd’hui, après 10 années de fonctionnement cette asbl vient de créer une succursale à Dinant afin d’y assurer les mêmes missions.
Sensible aux problèmes rencontrés par nos jeunes namurois, dans le cadre de leur recherche d’emploi, de la poursuite de leurs études, ou encore dans le cadre de projets qu’ils souhaitent développer dans l’intérêt général.
Mais dans toutes ces lignes, il manque l’essentiel dans ma vie, mon fils. Ce bonheur est privé et je tiens à le conserver ainsi.
Le judo était l’art martial pratiqué par l’ensemble de notre famille. Quatre frères et quatre champions de Belgique.
Je fus quelques temps membre du Patro de Jambes, et actif au sein de différentes associations de jeunes locales.
C’est en 1983, âgé alors de 18 ans que j’entre en politique en tant que président local des Jeunes Sociaux Chrétiens de Namur.
Autre élément important dans ma vie, l’asbl "Espace Rencontre de Namur " que j’ai la fierté d’avoir fondé et dont l’objet social est de remettre en contact des enfants séparés d’un de leurs parents. Aujourd’hui, après 10 années de fonctionnement cette asbl vient de créer une succursale à Dinant afin d’y assurer les mêmes missions.
Sensible aux problèmes rencontrés par nos jeunes namurois, dans le cadre de leur recherche d’emploi, de la poursuite de leurs études, ou encore dans le cadre de projets qu’ils souhaitent développer dans l’intérêt général.
Mais dans toutes ces lignes, il manque l’essentiel dans ma vie, mon fils. Ce bonheur est privé et je tiens à le conserver ainsi.