Extrait du journal La Libre du 20 juillet 2007.
Le fait est assez méconnu : la Ville dispose d'une véritable petite entreprise regroupant tous les corps de métier du secteur du bâtiment : maçons, menuisiers, plombiers, chauffagistes, électromécaniciens, ardoisiers, serrurier : ils sont une nonantaine à pied d'oeuvre pour réaliser en interne les travaux de réparations. Bien sûr, c'est le rêve de tout directeur de voir son école rafraîchie pour la rentrée. "Il est impossible de remettre à neuf toutes les écoles communales, chaque été. On centralise les demandes un semestre à l'avance. Sont prioritaires les écoles qui accueillent des nouvelles classes en septembre. Pour le reste, les directeurs doivent justifier leurs demandes. On fait aussi en sorte qu'il y ait une tournante", explique l'échevin Auspert.
Et puis, il faut tenir compte de facteurs impondérables : "Par exemple, l'entrepreneur qui devait assurer le remplacement des châssis à l'école de Naninne fait la sourde oreille malgré les divers appels. Autre regret : la réfection de la cour de récréation de l'école de Bouge Centenaire qui, suite à l'absence d'approbation du budget communal, devra être reportée aux prochaines grandes vacances. "
A.-F.So.
Le fait est assez méconnu : la Ville dispose d'une véritable petite entreprise regroupant tous les corps de métier du secteur du bâtiment : maçons, menuisiers, plombiers, chauffagistes, électromécaniciens, ardoisiers, serrurier : ils sont une nonantaine à pied d'oeuvre pour réaliser en interne les travaux de réparations. Bien sûr, c'est le rêve de tout directeur de voir son école rafraîchie pour la rentrée. "Il est impossible de remettre à neuf toutes les écoles communales, chaque été. On centralise les demandes un semestre à l'avance. Sont prioritaires les écoles qui accueillent des nouvelles classes en septembre. Pour le reste, les directeurs doivent justifier leurs demandes. On fait aussi en sorte qu'il y ait une tournante", explique l'échevin Auspert.
Et puis, il faut tenir compte de facteurs impondérables : "Par exemple, l'entrepreneur qui devait assurer le remplacement des châssis à l'école de Naninne fait la sourde oreille malgré les divers appels. Autre regret : la réfection de la cour de récréation de l'école de Bouge Centenaire qui, suite à l'absence d'approbation du budget communal, devra être reportée aux prochaines grandes vacances. "
A.-F.So.
Les équipes des peintres de la Ville de Namur profitent de la période des congés scolaires pour rafraîchir les écoles communales avant la rentrée.
L’école Industrielle du centre ville, l’école communale de Naninne font peau neuve.
De nouveaux sanitaires pour l’école communale de La Plante.
L’école Industrielle du centre ville, l’école communale de Naninne font peau neuve.
De nouveaux sanitaires pour l’école communale de La Plante.
Pendant ce temps les maçons aménagent les abords de l’école de la Boverie à Bouge.
Ils préparent également la rampe d’accès pour enfants à mobilité réduite à l’école de Belgrade.
Ils préparent également la rampe d’accès pour enfants à mobilité réduite à l’école de Belgrade.
Au même moment les ardoisiers du service des bâtiments effectuent les travaux d’entretien et de réparation aux écoles de Naninne.
De vrais artisans au service des enfants.
Vu de cette hauteur les dossiers ont une toute autre allure… !
De vrais artisans au service des enfants.
Vu de cette hauteur les dossiers ont une toute autre allure… !