Passé le choc et la désolation engendrés par le terrible incendie qui a réduit l’école communale d’Andoy à néant, il convenait de tout mettre en œuvre pour que le 1er septembre 2010 soit une rentrée scolaire comme les autres.
C’est dans un formidable élan de solidarité que l’Echevinat du Patrimoine, les gestionnaires de la salle Lizée, les responsables du Club de Tennis de Table et de la Balle-Pelote, sans oublier de nombreux villageois, se sont mobilisés pour que la rentrée des classes ait bien lieu comme chaque année et ce, dans les meilleurs conditions.
C’est dans un formidable élan de solidarité que l’Echevinat du Patrimoine, les gestionnaires de la salle Lizée, les responsables du Club de Tennis de Table et de la Balle-Pelote, sans oublier de nombreux villageois, se sont mobilisés pour que la rentrée des classes ait bien lieu comme chaque année et ce, dans les meilleurs conditions.
C'est ainsi que l’Echevinat du Patrimoine a déployé les grands moyens durant les grandes vacances pour créer de toutes pièces une école provisoire qui accueillera les 120 élèves de l’école au sein de 7 classes modules préfabriqués installés sur la Place des Sports à Andoy.
De leur côté, les gestionnaires de la salle Lizée n’ont pas hésité à proposer la location de leur salle pour l’installation du réfectoire et l’organisation des cours philosophiques. De même, les responsables du Club de Tennis de Table et de la Balle-Pelote ont ouvert leur salle pour y héberger le local de psychomotricité et autres activités qui n'ont pas trouvé pas refuge au sein des modules.
Au vu des délais impartis, on peut souligner que c’est dans un temps record que la société Algeco a procédé à l’installation des modules pour que ceux-ci soient le plus rapidement possible opérationnels et si possible dès la rentrée desclasses.
Entretemps, les discussions autour de l’indemnisation des parents d’élèves et des enseignantes ayant perdu des effets personnels lors du sinistre, se clôturent et devraient déboucher sur une formule qui permettra d’indemniser toutes réclamations inférieures à 200 euros et d’appliquer un coefficient de vétusté moyen de 20% pour les réclamations supérieures à 200 euros. Ce sont ainsi 18.624,81 euros qui seront répartis entre les élèves et les enseignantes.
Au-delà de ces premières mesures, j’ai également chargé mes Services d’élaborer un dossier pour la démolition de ce qui reste de l’école ainsi que le planning de reconstruction sur l’actuel site.
Entretemps, les discussions autour de l’indemnisation des parents d’élèves et des enseignantes ayant perdu des effets personnels lors du sinistre, se clôturent et devraient déboucher sur une formule qui permettra d’indemniser toutes réclamations inférieures à 200 euros et d’appliquer un coefficient de vétusté moyen de 20% pour les réclamations supérieures à 200 euros. Ce sont ainsi 18.624,81 euros qui seront répartis entre les élèves et les enseignantes.
Au-delà de ces premières mesures, j’ai également chargé mes Services d’élaborer un dossier pour la démolition de ce qui reste de l’école ainsi que le planning de reconstruction sur l’actuel site.