Pour le Namurois que je suis le plaisir et la fierté ressentis à la vue de ce patrimoine exceptionnel, à nouveau accessible dès les Journées du Patrimoine des 10 et 11 septembre 2011, n’empêchent pas l’humilité au regard de ces siècles d’histoire qui nous comtemplent.
Humilité face à l’histoire avec un grand H, donc, mais également humilité du parcours du combattant, qu’a constitué la restauration de l’Eglise Saint-Loup de manière générale, et singulièrement des confessionnaux, mis à l’honneur ce soir.
En phase avec le planning prévu, les confessionnaux ont repris leurs emplacements, la boucle est bouclée.
Si la restauration de l’Eglise Saint-Loup, étalonnée sur une durée total de 40 ans a été menée à bien, la phase consacrée à la restauration-conservation de ces fameux confessionnaux a pris quant à elle 20 ans.
Les dernières phases de ce dossier ont été vigoureusement relancées lors de cette législature. Avant cela, mes prédécesseurs, titulaires de la compétence communale du Patrimoine avaient contribué, peu ou prou, à cette œuvre de longue haleine.
N’ayons pas peur des mots : l’Eglise Saint-Loup classée en 1936 et reprise sur la liste du patrimoine immobilier exceptionnel de la Région Wallonne en 2006 est un bijou d’architecture qui n’a pas à rougir des églises baroques d’Anvers et même d’Italie.
Ses colonnes en marbre, sa voûte cintrée qu’éclaire naturellement un rideau de fenêtres en galerie, attirent les regards.
Mais bien d’autres trésors peuvent être admirés, et en particulier ces 10 confessionnaux des 17ème et 18ème siècles. Attardez-vous sur ces mille et un détails, ici une tête de diable, là un angelot malicieusement accroché à une liane, à moins que ce soit une vigne, vous constaterez de visu que l’humour n’est pas absent !
Je tiens à remercier publiquement la Région Wallonne pour la prise en charge de 95% des travaux.
Humilité face à l’histoire avec un grand H, donc, mais également humilité du parcours du combattant, qu’a constitué la restauration de l’Eglise Saint-Loup de manière générale, et singulièrement des confessionnaux, mis à l’honneur ce soir.
En phase avec le planning prévu, les confessionnaux ont repris leurs emplacements, la boucle est bouclée.
Si la restauration de l’Eglise Saint-Loup, étalonnée sur une durée total de 40 ans a été menée à bien, la phase consacrée à la restauration-conservation de ces fameux confessionnaux a pris quant à elle 20 ans.
Les dernières phases de ce dossier ont été vigoureusement relancées lors de cette législature. Avant cela, mes prédécesseurs, titulaires de la compétence communale du Patrimoine avaient contribué, peu ou prou, à cette œuvre de longue haleine.
N’ayons pas peur des mots : l’Eglise Saint-Loup classée en 1936 et reprise sur la liste du patrimoine immobilier exceptionnel de la Région Wallonne en 2006 est un bijou d’architecture qui n’a pas à rougir des églises baroques d’Anvers et même d’Italie.
Ses colonnes en marbre, sa voûte cintrée qu’éclaire naturellement un rideau de fenêtres en galerie, attirent les regards.
Mais bien d’autres trésors peuvent être admirés, et en particulier ces 10 confessionnaux des 17ème et 18ème siècles. Attardez-vous sur ces mille et un détails, ici une tête de diable, là un angelot malicieusement accroché à une liane, à moins que ce soit une vigne, vous constaterez de visu que l’humour n’est pas absent !
Je tiens à remercier publiquement la Région Wallonne pour la prise en charge de 95% des travaux.